L’agence de communication agile

Réussir le lancement de sa société : conseil n°1

Que faire pour réussir le lancement de sa société ?

Une question que tous les entrepreneurs se posent lorsqu’ils créent leur business plan. Au delà des besoins en communication basique (création d’un logo, d’une carte de visite, d’un site internet) et d’un plan de communication minimal (campagne emailing, réseaux sociaux…), il est également nécessaire de s’interroger sur le fonctionnement. Est-ce qu’embaucher ne me permettra pas d’aller plus vite ? Est-ce qu’avoir une machine plus chère ne me permettra d’augmenter ma productivité ? Toutes ses questions doivent se poser. Mais la première finalement, ne serait-pas : quels risques faut-il être prêt.e à prendre pour réussir le lancement de sa société ?

« Jouer la sécurité est le choix le plus risqué que l’on puisse faire »

Sarah Ban Breathnach

Réussir le lancement de sa société : conseil n°1 ne pas limiter les risques

Malheureusement oui. Lorsque l’on entreprend, c’est forcément risqué. On s’engage dans un projet parfois en abandonnant son job, en investissant toutes ses économies, en s’associant avec un ami. Bref, on joue gros. Toutefois, sur de nombreux échecs de création d’entreprise que j’ai pu observer autour de moi, j’ai pu établir le constat suivant : beaucoup ne réussissent pas, car ils ont peur de voir les choses en plus grand et d’investir de l’argent ou en ressources humaines. La question à se poser est alors : si vous-même ne croyez pas assez en votre projet pour lui donner suffisamment d’essence pour avancer, qui le fera à votre place ?

À moins d’un énorme coup de chance, personne. Et parfois, la réussite ne tient qu’à un fil : embaucher un commercial, avoir un site vitrine, une image professionnelle, un stock plus important, faire du référencement, changer de statut, etc. Les personnes qui me disent : « Si j’avais plus de trésorerie, je le ferai, mais pour le moment je ne peux pas. », sont en grande majorité celles qui abandonneront leur société durant les 3 prochaines années.

Ainsi, pour se lancer il vaut donc mieux faire un crédit plus important au démarrage afin d’avoir les ressources nécessaires à la réussite de son projet.

Quelques exemples de non prise de risque

J’ai pu observer beaucoup d’échecs, notamment dans une activité de e-commerce, à cause de ce genre de problèmes :

L’entrepreneur est convaincu que si son site est beau et fonctionnel, ses ventes se réaliseront toutes seules.

Exemple n°1 : FAUX. ARCHI FAUX. Imaginez-vous ouvrir une boutique au fin fond de la Creuse (désolée pour les habitants de la région), si vous ne faites pas savoir que votre boutique existe, il y a peu de chance pour que des habitants du voisinage s’y déplacent. Il en va de même pour le web. Il existe des milliards de milliards de sites internet. Si vous n’allez pas à la rencontre de vos clients, comment voulez-vous qu’ils vous trouvent parmi tout cela ? Je dirais que de nos jours, il existe de nombreuses solutions pour attirer des gens sur votre site web, mais plus simplement, mettez votre priorité sur le référencement. Ne perdez pas d’énergie sur des détails ce ne sont pas eux qui vont apporteront vos clients finaux.

Certains entrepreneurs pensent trouver des clients uniquement grâce à Facebook.

Exemple n°2 : Attention, ce n’est pas toujours la (seule) solution ! En fonction de votre typologie de client il faut élargir son champ d’action. De plus, de nos jours il est impossible de réussir à communiquer sur Facebook sans publicité. À savoir également qu’il existe d’autres réseaux sociaux et que ceux-ci forment TOUS la vitrine de votre entreprise. Mieux vaut un réseau social bien géré que démultiplier les usages de manière primaire. C’est comme si : vous cibliez des personnes dans les quartiers alentours pour les faire venir dans votre boutique, alors que vous n’avez même pas informé vos propres voisins de l’ouverture de celle-ci en bas de chez eux. Vous vous dîtes qu’ils la verront d’eux-mêmes, mais si la devanture ne leur parle pas, ou, ne leur fait pas envie, ils ne rentreront pas et achèteront encore moins.

Erreur inverse, l’entrepreneur lance une application mobile ou un site à visée nationale mais cible uniquement la zone géographique autour de son entreprise pour commencer.

Exemple n°3 : Un choix qui peut s’expliquer rationnellement par la volonté de monter progressivement. Dans un même temps, imaginons qu’il choisisse de communiquer auprès des journalistes grâce à un communiqué ou un dossier de presse. Ces journalistes sont pour la plupart à Paris et écrivent pour des informations nationales.

Si vous leur dites que pour le moment votre service/offre n’est pas disponible dans leur zone, cela ne les intéressera pas.
Peut-être plus tard, mais dans ce cas, ce ne sera plus une nouveauté. Autant réaliser votre campagne en temps voulu et permettre les résultats attendus.

Lancer un site e-commerce ou une application mobile pour une seule ville, alors qu’à terme on vise toute la France, c’est se tirer une balle dans le pied dès le départ. C’est comme si vous ouvriez une boutique dans le centre de Paris et que seuls les touristes avaient le droit de s’y rendre.

Il existe cependant une exception : si la date de lancement est déjà prévue et que vous lancez une campagne de communication en teasing en parallèle.

L’entrepreneur ne mise que sur le web pour se lancer.

Exemple n°4 : C’est surtout le cas pour les jeunes entrepreneurs. Ils ont tendance à oublier que c’est souvent le bouche à oreille et le réseau qui sont les canaux de publicité les plus importants. Aller à la rencontre de sa cible dans la vie réelle est une démarche essentielle dans la réussite d’un projet.

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à nous le dire en commentaire ! Et si vous voulez la suite de nos conseils, c’est par ici : Réussir le lancement de sa société, conseil n°2

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